samedi 28 février 2015

Danses amalgamées

Barbapappa, Hek li nifi, 2015

Cette parodie qui a fait le buzz depuis le mois dernier et qui imite le disk Shekini de P-SQUARE est très riche en mouvement, elle rassemble pratiquement les cinq danses: breakdance, hiphop new style, danse afro, danse amazigh et la danse chaâbi.

Ragga dancehall

J'ai tardé à vous écrire. Je profitais pleinement de mes vacances mais sans oublier mon blog. Je voudrais vous parler du ragga dancehall et il n'y a pas moyen de vous faire découvrir cette danse sans vous parler de celle qui l'a fait connaître. Aya Level est une danseuse et chorégraphe d'une mère libano-ivoirienne et d'un père français. Élevée à Paris, sa mère l'avait inscrite très tôt aux cours de danse classique du conservatoire de sa ville natale. Elle s'est retrouvée après et naturellement vers les danses afro: ragga dancehall et soca dancehall. Ces danses sorties de la Jamaïque et développées dans les ghettos des caraïbe dans un esprit de provocation et de défi et dans un contexte festif se composent principalement d'ondulations sensuelles, de mouvements saccadés et de sauts. Le ragga dancehall ne demande pas à ce que tout le monde danse de la même manière, plus on y met du style et on le personnalise, plus on y prend du plaisir et on assure son corps et c'est ainsi qu'Aya s'est fait repérer très vite et a commencé à se produire en shows dans les clips et dans les concerts de renoms. Elle est également devenue la danseuse officielle de Colonel Reyel. Vu son grand succès, Krys le roi le la musique Reggae dancehall lui donna le surnom Aya Level (higher level). Aujourd'hui elle est professeur de danse et donne des cours au studio Massaro à Paris. En partageant ses vidéos sur Youtube, elle connaît un succès rapide: plus de 2 millions de vues en quelques mois. A présent, chaque personne qui s’intéresse au dancehall regarde Aya, ses cours et ses chorégraphies. Ci dessous: chorégraphies d'Aya avec quelques danseuses.


Aya Level danse avec d'autres chorégraphes

Aya et ses élèves

Aya et ses élèves

Sources:
https://www.facebook.com/ayadhsoca

dimanche 15 février 2015

Le bonheur de danser avec la personne qu'on aime

Je viens de me réveiller (c’est un peu tard, je sais) et je suis très contente de me réveiller d’une soirée où j’ai eu une très grande surprise, celle de revoir mon ami proche (j’ai bien dit ami) qui est revenu de Turquie et venu me voir à Marrakech. Nous avons célébré la Saint va t’en loin ensemble (et nos 4 ans d’amitié) au théatro (oui, tellement on aime les ambiances festives qu’on célèbre toute les fêtes du monde) et c’est justement pourquoi je veux vous écrire et vous raconter la soirée d’hier. Mon ami est une personne très active qui aime faire la fête, le type de garçon qui part en boîte non pour se bourrer ou pour draguer, mais pour danser et se défouler. Anass, c’est le seul garçon que je connaisse qui danse le reggaeton et évidemment, nous avons passé une bonne soirée à pratiquer cette passion que nous avons en commun.

Je portais ma tenue préférée, celle qui me permet de bien me mouvoir. Mes talons, j’ai dû les enlever pour ne pas avoir de contraintes, car bouger la tête, les hanches d’avant en arrière et faire des petits pas à droite et à gauche ne me suffisent pas.

Tous deux, nous faisons abstraction du regard des autres, nous laissons nos corps bouger naturellement avec la musique et nous nous disons que tout est permis tant que nos mouvements sont fluides et en rythme. Nous prenons plus de plaisir en dansant sur les chansons que nous connaissons, comme le SHEKINI et PERSONALLY de P-SQUARE qui nous ont donné des ailles, nous les avons chanté également. Quand nous avons du mal à trouver la cadence avec les mélodies peu familières ou quand nous apprécions moins la musique qui passe, nous nous asseyons pour nous reposer et boire, lui, ses deux gouttes de whiskey mélangées avec un grand verre de coca et de jus d’ananas (il faut boire d’une façon responsable pour pouvoir ensuite rentrer chez nous) et moi, étant plus mature que lui, je sirote mon virgin mojito (Mojito sans alcool) et si vous croyez que je fais l’innocente de peur que mes parents (qui sont contre l’alcool) lisent mon article, vous vous trompez : moi, je ne bois pas, ce n’est pas notre sujet mais bon, j’arrive à me détendre et à bouger sans boire une goutte.


Nous deux en train de dire koukou à la caméra
Excusez moi si je vous ai trop fait attendre, je n'ai pas pu recevoir les photos. Je garde quand même cette photo de nous deux avec le ballon en forme de cœur géant. (et je remercie encore une fois notre camarade Julien qui nous a pris en photo pour les supprimer après)

lundi 9 février 2015

Reggaeton

L'apparition du reggaeton remonte au début des années 1990, à Panama et à Porto-Rico, mais son développement s'est fait à Cuba et ensuite en Russie avec la chorégraphe Inga Fominikh qui est considérée aujourd'hui comme la reine du reggaeton. Cette danse est une fusion du hip-hop avec les danses latines (Salsa cubaines, salsa portoricaine, kizomba). Elle a un style provocateur qui met l'accent sur la sexualité et qui privilégie les mouvements de rotation des hanches et du corps. Danse à la fois en solo, en couple ou en groupe, elle nécessite flexibilité et rapidité. On la pratique habillé de vêtements décontractés et confortables (Short, t-shirt, espadrilles). Je vous laisse découvrir cette danse à travers la vidéo ci-dessous:
Blackton, Inga Fominikh Reggaeton, 2013

Sources:
http://www.shake-it.su/inga#
http://yandex.ru/video/search?text=reggaeton%20inga%20fominikh&path=wizard&fiw=0.00263372&filmId=On6i0gMh0Cw&fiw=0.00263372
http://vk.com/inga_fomihykh